Cotations IDEL

Vous êtes toutes déjà passées par là : les erreurs de cotation font perdre du temps, de l’argent et de l’énergie aux infirmières et infirmiers libéraux. 

Mauvaise lecture de la NGAP, oubli d’une majoration, confusion entre forfaits et actes techniques : les occasions de se tromper ne manquent pas. 

Bonne nouvelle : pour démarrer la rentrée en beauté, on décortique avec vous les 5 pièges les plus fréquents, leurs conséquences et surtout les solutions pour éviter le rejet ou l’indu et bien s’organiser !

Et parce que la vie est trop courte pour passer ses jours et ses nuits à se battre avec la nomenclature pour coter au mieux chaque soin infirmier dispensé, on vous présente un allié fiable : le moteur de cotation intelligent d’Albus Latitude (il va vite devenir votre meilleur ami, promis !)

Les infos à retenir

• Une erreur de cotation IDEL peut entraîner un rejet, un indu et donc une perte de revenus.

• Les 5 pièges les plus fréquents : mauvaise lecture de la NGAP, oubli de majorations, confusion entre actes isolés et forfaits, mauvaise gestion du BSI, méconnaissance des règles de cumul.

• Les conséquences : charges financières, stress, perte de temps, incertitude dans la facturation.

• Le moteur de cotation d’Albus Latitude automatise la gestion des cotations et la facturation, sécurise chaque facture et la télétransmission, et libère l’infirmier libéral afin de prioriser le patient.

• Ne loupez pas le nouveau guide spécial cotations, disponible gratuitement pour approfondir vos connaissances : rendez-vous en fin d’article !
  

Comprendre pourquoi les erreurs de cotation IDEL coûtent si cher

On ne va pas tourner autour du pot : une erreur de cotation n’est jamais anodine. Pour une IDEL, elle peut :

• entraîner un rejet pur et simple de la facture de la part de la CPAM ;

• générer un indu de la CPAM avec obligation de rembourser le montant déjà perçu, souvent avec des intérêts ;

• provoquer une perte sèche de revenus si le paiement est bloqué ;

• grever la trésorerie, alourdir la gestion quotidienne et le stress administratif.

Or, l’outil principal pour coter les actes de soins infirmiers, à savoir la nomenclature générale des actes professionnels (NGAP) est certes une base solide… mais pas toujours claire. 

Entre les nombreux avenants et changements, les actes techniques (injections, perfusions, pansements), les forfaits BSI liés à la dépendance des patients, les règles de cumul, de majorations ou de proratisation, il est facile de se perdre. Et soyons honnêtes : ce n’est pas pour ça que vous avez choisi le métier d’infirmière libérale. Ce qui vous motive, c’est le soin, le lien humain, la prise en charge du patient pour maintenir son autonomie à domicile le plus longtemps possible et dans les meilleures conditions, pas les calculs alambiqués de lettres clés. On vous comprend.

Les 5 pièges de cotation à éviter absolument

Mal interpréter la NGAP…

…car oui, il faut parfois lire entre les lignes ! La NGAP n’est pas un roman qu’on lit au coin du feu, c’est une jungle de règles parfois obscures.
Beaucoup d’IDEL font l’erreur de se fier uniquement à leur mémoire ou à des habitudes transmises par un confrère ou une collègue. Résultat : une cotation fausse, une facture fragile.

La NGAP évolue beaucoup d’années en années, grâce au combat des syndicats infirmiers pour revaloriser le métier et lui donner une place centrale dans la coordination des soins, mais aussi pour s’adapter au mieux aux besoins d’une population vieillissante et pallier la difficulté que représente la désertification médicale.

Fonder ses cotations uniquement sur vos acquis passés est donc dangereux pour la santé financière de votre activité libérale, mais aussi pour votre réputation en tant que professionnelle de santé.

L’Astuce de Albus : se former régulièrement via une formation NGAP et s’appuyer sur des outils qui traduisent la théorie en pratique. 

• Le DPC vous permet de rester à jour sur la cotation des actes grâce à des formations prises en charge financièrement, qu’elles soient dispensées à distance ou en présentiel. 
• Un bon logiciel de facturation IDEL doit vous faciliter la vie. Le moteur de cotation Albus Latitude est le meilleur du marché : il classe automatiquement les actes dans le respect des actes de cumul afin d’assurer la rentabilité de votre activité.

Oublier les majorations

De nuit, le dimanche, les jours fériés, ou encore pour certaines situations spécifiques (coucou la MAU, la MCI et la MIE !), les majorations permettent de mieux valoriser votre travail. Mais elles sont souvent oubliées dans la facturation.

L’Astuce de Albus : utiliser un moteur qui propose automatiquement la bonne majoration selon le contexte (jour, nuit, week-end). Vous rentrez les informations du patient et l’heure à laquelle vous avez effectué votre acte, et le moteur vous suggère automatiquement la majoration correspondante. Pas mal, non ? C’est Albus.

Aml coter les actes isolés et les forfaits

Le grand classique ! Les actes infirmiers n’ont pas la même logique, ni la même valorisation en fonction des situations, et les forfaits BSI ajoutent une couche de complexité (on y vient juste après).

Petit rappel des principales lettres-clés : 

• AMI : Actes techniques (hors cadre de la dépendance) : 3,15 € en métropole, 3,30 € en DOM et à Mayotte ;
• AMX : Actes techniques (dans le cadre de la dépendance) : 3,15 € en métropole, 3,30 € en DOM et à Mayotte ;
• AIS : Actes infirmiers de soins : 2,65 € en métropole, 2,70 € en DOM et à Mayotte.

En cas d’erreurs, à raison de 20 à 30 patients par jour et de 2 1 à 4 visites quotidiennes par patient, un erreur de cotation peu donc représenter un gros manque à gagner !

Astuce Albus : se rappeler que chaque acte doit être relié à la bonne lettre clé et que le forfait BSI couvre une logique globale de prise en charge (vous trouverez un joli ebook BSO à télécharger gratuitement juste ici).

Mal gérer le BSI et les actes au domicile

On y vient donc : le bilan de soins infirmiers (BSI) est devenu incontournable pour les patients lourds et dépendants. Mais il reste une source d’erreurs fréquentes.

• Exemple : cumuler un forfait BSI avec des actes de soins infirmiers déjà inclus dedans, un autre grand classique.
  Conséquence : rejet de la facturation et perte de crédibilité auprès de la caisse.
• Autre exemple : mal évaluer les besoins du patient et se retrouver avec un BSA à 13 €/jour au lieu d’un BSB (18,20 €/jour) ou d’un BSC (28,70 €/jour).
  Conséquence : un manque à gagner pour vous, une mauvaise prise en charge du patient, et une perte de temps consacrée à la réévaluation du BSI. 

Astuce Albus : bien remplir la demande de BSI sur AmeliPro et bien distinguer ce qui est inclus dans le forfait et ce qui peut être coté à part, notamment certains actes techniques spécifiques.

Méconnaître les règles de cumul

Certaines règles de la NGAP permettent de coter plusieurs soins au même domicile, d’autres interdisent les cumuls. Les oublier ou mal les appliquer est un piège classique.

Lorsque vous réalisez plusieurs soins durant une même séance, c’est l’acte avec le coefficient le plus élevé qui doit être facturé en intégralité, soit à 100 %. Le deuxième acte réalisé durant la même séance n’est, quant à lui, facturé qu’à 50 % de son tarif habituel. À partir du troisième acte, plus aucun honoraire n’est facturable.

• Exemple : coter un pansement complexe (AMI 4) avec une injection (AMI 1) à 100 %, sans vérification.
• Conséquence : facture rejetée et nouvelle charge administrative pour l’infirmière.

L’Astuce de Albus : s’appuyer sur un logiciel qui applique automatiquement les règles de cumul, sans se poser la question.

Pourquoi automatiser la cotation change tout

On ne va pas se mentir : même avec la meilleure formation, la meilleure volonté et un classeur NGAP sous le bras en permanence, l’erreur de cotation IDEL reste un risque quotidien. C’est là que l’automatisation fait toute la différence.

Avec le moteur de cotation d’Albus Latitude :

• chaque acte est analysé en fonction de la NGAP, du contexte (jour, nuit, week-end, domicile) et du type de soin ;

• les majorations sont proposées automatiquement ;

• les rejets sont évités car les règles de cumul sont respectées ;

• la gestion est simplifiée, le temps administratif réduit, et le paiement plus rapide.

Résultat : plus de sérénité, moins de charge mentale, et une meilleure valorisation du travail du professionnel de santé libéral.

Conclusion : moins d’erreurs, plus de sérénité

Éviter les erreurs de cotation IDEL, ce n’est pas seulement une affaire de facturation correcte. C’est sécuriser ses revenus, protéger sa trésorerie et retrouver du temps pour ce qui compte vraiment : le patient et la qualité du soin.

Entre la complexité de la NGAP, les forfaits BSI, les actes lourds, les majorations, la gestion des factures et le risque de rejet, les IDEL n’ont pas à porter ce fardeau seuls.

Avec le moteur de cotation intelligent d’Albus Latitude, vous sécurisez chaque facture et vous gagnez en sérénité. Et pour aller plus loin, ne manquez pas notre ebook spécial cotations, disponible gratuitement : un condensé de conseils pratiques pour éviter les erreurs et maîtriser la nomenclature.

Je télécharge le guide

Et toujours disponible, retrouvez le livre blanc des 5 erreurs qui limitent votre activité